Kyôko fait partie des étudiants de l'académie Kibôgamine. C'est une jeune fille mystérieuse, stoïque et très calme qui ne montre que rarement ses sentiments.

Il s'agit aussi d'un des rares personnages avec Celeste, et Byakuya à garder son calme dans l'intégralité des situations ainsi qu'avec Makoto, l'enquêtrice principale lors des meurtres, lorsqu'elle prouve que si le coupable du premier meurtre était Makoto, il n'aurait pas eu besoin de détruire la porte de la douche, ou lorsque qu'elle révèle la véritable identité de Chihiro, de même que l'incapacité de Hiro à bouger dans le costume où il était piégé. Malgré son stoïcisme, elle sait trouver les mots justes pour réconforter lorsqu'elle dit à Makoto que Sayaka a écrit le message 11037 en vue de le sauver ou lorsqu'elle dit à Mondo qu'il a tenté de garder sa promesse de protéger le secret de Chihiro en changeant la scène de crime et en détruisant son électroID dans le sauna.

Lors de la découverte d'Alter Ego, elle sera la principale intermédiaire entre lui et les étudiants survivants et dans un sens sa gestionnaire lorsqu'elle interdira à Hifumi et Taka de s'approcher de lui. Cependant, sa manie faire cavalière seule agace profondément Byakuya qui, la jugeant suspecte, lui ordonne de lui donner la clé de sa chambre à défaut de son titre, ce qu'elle fera, ayant oublié son talent. De plus, la solitaire sera suspectée du cinquième meurtre avant qu'elle ne remette la faute sur Makoto en prétextant ne pas pouvoir entrer dans sa chambre sans sa clé - ce qui est faux ayant volé le passe partout de Monokuma - qui sera exécuté mais sauvé de justesse.

Elle le sortira de la déchetterie où elle annoncera avoir recouvré la mémoire concernant son titre qui est la lycéenne d'élite détective. Après avoir demandé une révision du procès, elle apprendra la mort de son père, Jin Kirirgiri, le principal de Kibougamine avant Monokuma, alors qu'elle était entrée dans l'académie pour régler ses comptes avec lui, ce dernier l'ayant abandonnée jeune. Cependant, il semblait fortement aimer sa fille utilisant le prénom de celle ci comme mot de passe de l'ordinateur. Lors du procès final, après que Makoto lui ait scandé de ne pas tomber dans le désespoir, elle avoue que malgré le peu de temps passé avec son paternel, il n'aurait pas accepté qu'elle continue à vivre si cela revenait à sacrifier un ami. En quittant l'Académie, elle révèle au lycéen d'élite de l'espoir qu'elle est prête à faire face à l'avenir si c'est avec lui, ce qui pourrait laisser entrevoir qu'il ne la laisse pas indifférente.

Elle deviendra ensuite membre de la Fondation Future.

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Kyôko Kirigiri fera partie de la quatorzième division des services de la Fondation Future qui lutte contre le désespoir et les Remnants of Despair qui propagent la terreur en faisant souffrir la population. Elle possède de longs cheveux violets ainsi que des yeux assez clairs. Elle est également la supérieure de Makoto.

Vis-à-vis de son caractère, elle apparaît comme quelqu'un d'imperturbable qui ne laisse aucun adversaire prendre le dessus sur elle. Elle sait également garder son calme, peu importe la situation à laquelle elle doit faire face. Elle résiste même à la souffrance en direct de certains de ses amis mais tient quand même énormément à eux, même si elle sait faire preuve de diplomatie lors des situations difficiles et qu'elle voudrait montrer ses vrais sentiments. Elle réplique d'ailleurs intelligemment lorsque Makoto est violenté par un des membres de la Fondation Future qui le considère comme responsable de complicité avec les Remnants of Despair, et donc d'être un traître.

Kyôko pense également qu'elle est suspectée de complicité vis-à-vis des actes de Makoto et prévient donc Aoi pour qu'elle soit sur ses gardes. Seulement, celle-ci fait de même avec son amie qui essaye de se montrer droite sans vraiment montrer ses vraies intentions : celles de suivre Makoto et de lui faire confiance.

Elle croise également Ryôta Mitarai avant que le bâtiment ne soit attaqué par l'ennemi et qu'ils soient tous obligés de participer à un nouveau jeu de massacre.